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1 Pourquoi ? Pour placer l’intelligence collective au coeur des projets d’urbanisme, ouvrir de nouvelles opportunités autant personnelles que collectives pour améliorer le monde
Imaginez… et si tous les projets d’urbanisme durables étaient orientés par l’intelligence collective et l’engagement de tous, au service d’une intention commune ?
Nous croyons que c’est possible, nous y pensons la nuit et tous les jours, nous y travaillons sans relâche au sein d’un réseau de plus en plus important
2 Comment ? En re-inventant l’urbanisme, en plaçant la participation au centre…
En passant du paradigme de l’urbanisme pensé par les experts pour la société, qui réserve l’apport de créativité et de connaissances à un petit groupe de personnes … /////// au nouveau paradigme de l’urbanisme ouvert, destiné à mobiliser la créativité et le génie de la totalité de société, experts et on experts, pour nous engager ensemble, à partir de l’intelligence collective vers les transformations durables de nos territoires et de nos modes de vie.
Le sujet a une dimension individuelle, car au moment où les impacts du dérèglement climatique et de la chute de la biodiversité s’imposent à tous, retrouver une capacité à imaginer, à s’exprimer, à être écouté et à participer à l’élaboration des solutions pour adapter nos cadres et mode de vie, les rendre plus qualitatifs et plus résilient est une autant une question de dignité que de santé mentale.
Le premier chantier a donc été d’augmenter les capacités d’imagination et d’expressions individuelles des personnes, en inventant par exemple une plateforme numérique d’idéation utilisable depuis les espaces public et capable de partager en temps réel les contributions.
Pour passer des contributions individuelles aux bénéfices de l’intelligence collective, le second chantier a été d’inventer des méthodes de structuration des idées individuelles à la fois quantitatives et qualitative, de façon à passer de la programmation descendante traditionnelle, à la programmation participative, beaucoup plus riche et sécurisée puisqu’elle associe en amont l’expression des futurs utilisateurs, autant que les soutiens et les opposants.
Les projets et les recherches en cours avec la Suisse, la Finlande et la Turquie montrent qu’il est possible de créer de nouvelles itérations d’intelligence collective entre les experts et la société civile en infusant les contributions structurées dans des projets d’urbanisme dont certaines options restent ouvertes et sont soumises aux votes et commentaires, de façon à ré-interroger une nouvelle fois les connaissances de la société civile et améliorer ainsi la qualité et l’appropriation des projets durables.
3 Quoi exactement ?
Concrètement, la Fondation donne accès librement et gratuitement à l’ensemble de ces démarches et plateformes numériques documentés Vous pouvez utiliser les solutions initiées par la Fondation de façon autonome, y compris commercialement, en respectant les licences Creative Commons et GNU.
Voici le lien vers la documentation et les fichiers sources.
Nous y gagnons plusieurs bénéfices ; Le premier est d’être aligné sur nos valeurs, car il serait difficile de prôner l’intelligence collective, le contributif et de bénéficier d’argent public à notre seul bénéfice, ce qui serait le cas avec un système fermé, ou pouvant être fermé à notre volonté. C’est pourquoi nos statuts garantisse que toutes nos initiatives et création sont produites sous licences copyleft et ont vocation à devenir des communs.
Le second est de tirer avantage par les critiques et contributions de nos partenaires d’un laboratoire de R&D international extrêmement pointu avec un regard à 360° sur les évolutions et les besoins de l’urbanisme tel qu’il se pratique dans des conditions géographiques et culturelles de tout type.
Le troisième bénéfice de pouvoir faire le lien auprès des experts et des non experts entre la culture du libre, que nous appliquons et qui nous rémunère, et ce que cette culture de la contribution peut apporter au processus d’urbanisme déployé dans leur territoire, voir à leur territoire comme modèle de développement durable au delà des transformations territoriales.
Imaginez… et si tous les projets d’urbanisme durables étaient orientés par l’intelligence collective et l’engagement de tous, au service d’une intention commune ?
Nous croyons que c’est possible, nous y pensons la nuit et tous les jours, nous y travaillons sans relâche au sein d’un réseau de plus en plus important
2 Comment ? En re-inventant l’urbanisme, en plaçant la participation au centre…
En passant du paradigme de l’urbanisme pensé par les experts pour la société, qui réserve l’apport de créativité et de connaissances à un petit groupe de personnes … /////// au nouveau paradigme de l’urbanisme ouvert, destiné à mobiliser la créativité et le génie de la totalité de société, experts et on experts, pour nous engager ensemble, à partir de l’intelligence collective vers les transformations durables de nos territoires et de nos modes de vie.
Le sujet a une dimension individuelle, car au moment où les impacts du dérèglement climatique et de la chute de la biodiversité s’imposent à tous, retrouver une capacité à imaginer, à s’exprimer, à être écouté et à participer à l’élaboration des solutions pour adapter nos cadres et mode de vie, les rendre plus qualitatifs et plus résilient est une autant une question de dignité que de santé mentale.
Le premier chantier a donc été d’augmenter les capacités d’imagination et d’expressions individuelles des personnes, en inventant par exemple une plateforme numérique d’idéation utilisable depuis les espaces public et capable de partager en temps réel les contributions.
Pour passer des contributions individuelles aux bénéfices de l’intelligence collective, le second chantier a été d’inventer des méthodes de structuration des idées individuelles à la fois quantitatives et qualitative, de façon à passer de la programmation descendante traditionnelle, à la programmation participative, beaucoup plus riche et sécurisée puisqu’elle associe en amont l’expression des futurs utilisateurs, autant que les soutiens et les opposants.
Les projets et les recherches en cours avec la Suisse, la Finlande et la Turquie montrent qu’il est possible de créer de nouvelles itérations d’intelligence collective entre les experts et la société civile en infusant les contributions structurées dans des projets d’urbanisme dont certaines options restent ouvertes et sont soumises aux votes et commentaires, de façon à ré-interroger une nouvelle fois les connaissances de la société civile et améliorer ainsi la qualité et l’appropriation des projets durables.
3 Quoi exactement ?
Concrètement, la Fondation donne accès librement et gratuitement à l’ensemble de ces démarches et plateformes numériques documentés Vous pouvez utiliser les solutions initiées par la Fondation de façon autonome, y compris commercialement, en respectant les licences Creative Commons et GNU.
Voici le lien vers la documentation et les fichiers sources.
Nous y gagnons plusieurs bénéfices ; Le premier est d’être aligné sur nos valeurs, car il serait difficile de prôner l’intelligence collective, le contributif et de bénéficier d’argent public à notre seul bénéfice, ce qui serait le cas avec un système fermé, ou pouvant être fermé à notre volonté. C’est pourquoi nos statuts garantisse que toutes nos initiatives et création sont produites sous licences copyleft et ont vocation à devenir des communs.
Le second est de tirer avantage par les critiques et contributions de nos partenaires d’un laboratoire de R&D international extrêmement pointu avec un regard à 360° sur les évolutions et les besoins de l’urbanisme tel qu’il se pratique dans des conditions géographiques et culturelles de tout type.
Le troisième bénéfice de pouvoir faire le lien auprès des experts et des non experts entre la culture du libre, que nous appliquons et qui nous rémunère, et ce que cette culture de la contribution peut apporter au processus d’urbanisme déployé dans leur territoire, voir à leur territoire comme modèle de développement durable au delà des transformations territoriales.